le Grand Concours de Screens est de retour !
Venez poster vos screens pour les catégories suivantes:
-screen le plus marrant
-screen le plus émouvant
-screen le plus insolite
-screen le plus étonnant
Comme pour sa première édition, le concours est ouvert à tous pendant 2 semaines.
Conditions du concours:
le screen doit etre fait sous Dofus, doit etre assez grand pour que l'on voit bien, ne doit pas etre modifié sous paint, toshop, tofiltre, etc, ne doit pas etre piqué sur un autre site, doit etre fait par celui qui le post, doit remplir les conditions précédentes, et doit etre conforme à l'article 00820-452 paragraphe 4 du code du screen dofusien selon lequel tout screen doit se conformer aux conditions sités ci-avant, et à l'article 00456-243 paragraphe 8 selon lequel un screen doit etre présenté sous forme carré ou rectangulaire. Ainsi, pas de screen rond ou biscornu. Pour toutes les informations complémentaires, achetez le Guide des Conditions de Screenage Dofusien, en 7 volumes de 400 pages chacuns, 1M de kamas chacun, vous pouvez bien entendu bénéficier d'une remise de deux kamas si vous etes membre de l'association de don de kamas à bood. Ce concour est déposé chez l'huissier de justice Maitre Mob, pour le contacter, ben faites le donjon ensablé. Important: nous recherchons un multimillionnaire pour fournir les codes audios qui serviront de récompenses aux lauréat ainsi que pour adhérer à l'association citée ci-dessus. Nous espérons que ces conditions ne sont pas trop longue et vous souhaitons un agréable GCS, première édition, organisé par le grand, le beau, le fort, l'intelligent, enfin bref, Hellosa, merci merci de votre attention, mais ne vous endormez surtout pas. Vous vous êtes fait chier à lire ces conditions ? Et ben bien fait pour vous, na. Si vous voulez vous faire encore plus chier, voici l'article de wikipedia sur les dolmens. Oui, je sais, on s'en fou, c'est juste pour prendre de la place. Et aussi approfondir votre culture générale, qui sait, ça va p'têtre vous aider à vaincre un piou un jour. Quoique. Le voici donc (c'est un copier coller): Dans leur état actuel de dégradation, les dolmens se présentent souvent sous l'apparence de simples tables, qui a pu longtemps faire penser à des autels païens, mais il s'agit bien de chambres sépulcrales et de galeries de tumulus (buttes artificielles), dont la partie meuble (remblais) a été érodée au cours des siècles. Leur architecture comporte parfois un couloir d'accès qui peut être construit en dalles et/ou en pierre sèche. La chambre sépulcrale, aux formes variables (rectangulaire, polygonale, ovale, circulaire…) peut aussi être précédée par une « antichambre ». Dans certains dolmens l'entrée présente une porte taillée dans une ou plusieurs dalles verticales. La morphologie des dolmens peut varier en fonction des régions; ainsi observe-t-on par exemple en Loire-Atlantique (France) des dolmens dont le couloir central dessert plusieurs chambres de part et d'autre, formant ainsi un ou deux transepts et compliquant notablement le plan de la sépulture. Ailleurs en Bretagne, ou dans d'autres régions, en région parisienne par exemple, et dans bien d'autres pays, certains dolmens démesurément longs, dont la chambre et le couloir de même largeur se confondent et qui sont recouverts de plusieurs tables sont appelés « allées couvertes ». La complexité et l'importance des monuments peuvent être telles que certains tumuli recouvrent plusieurs dolmens, comme le grand tumulus de Barnenez (Finistère, France) qui couvre onze sépultures à couloir, les unes mégalithiques et d'autres avec voûtes de pierre sèche en encorbellement… À l'opposé, la région des Cévennes est riche en tombes du genre coffre, souvent en dalles de schiste et pierre sèche, sans couloir et sous un cairn assez bas, parfois réunis en nombre dans une nécropole de crête. Étymologie [modifier] Cet article ou cette section ne cite pas suffisamment ses sources. Son contenu est donc sujet à caution. Wikipédia doit être fondée sur des sources fiables et indépendantes. Améliorez cet article en liant les informations à des sources, au moyen de notes de bas de page (voir les recommandations). Il semble que ce soit Théophile Malo Corret de la Tour d'Auvergne qui soit l'"inventeur" du terme « dolmen », dans son ouvrage Origines gauloise. Celles des plus anciens peuples de l'Europe puisées dans leur vraie source ou recherche sur la langue, l'origine et les antiquités des Celto-Bretons de l'Aarmorique, pour servir à l'histoire ancienne et moderne de ce peuple et à celle des Français, publié entre 1792 et 1796. Son appellation « dolmen » est vite reprise par Pierre Jean-Baptiste Legrand d'Aussy (1737-1800) qui propose une interprétation différente de la fonction du dolmen en y voyant, non plus une table de sacrifice ou un autel comme le pensait Malo Corret, mais bien une sépulture. Le 7 ventôse de l'an VII (25 février 1799), Legrand d'Aussy fait, à l'Institut, une lecture de son ouvrage, Des sépultures nationales, publié par la suite en 1824 et dont voici un extrait (dont l'orthographe est restituée telle quelle) :« M. Coret, parlant d'une de ces tables que je ferai connaître bientôt, et qu'on voit à Locmariaker, dit qu'en bas-breton on l'appelle dolmin. Je saisis de nouveau cette expression, qui, comme les deux précédentes, m'est nécessaire. Dans un sujet totalement neuf, et dont par conséquent le vocabulaire n'existe pas, je suis forcé de m'en faire un; et quoique, par mon droit, je fusse autorisé à créer des mots, je préfère néanmoins d'adopter ceux que je trouve existants, surtout quand ils me donnent, comme le bas-breton, l'espoir de représenter les anciennes dénominations gauloises. J'adopte donc le mot dolmine, et je vais l'employer pour désigner les tables dont je parle. »À noter que ce mot n'est pas un mot breton et que s'il avait été attesté dans cette langue, il aurait été écrit « taol-men », « un daol-ven » (un dolmen), « ma zaol-men » (mon dolmen). Le mot breton pour désigner un dolmen est en fait « Liah vaen », variante « Liaven » ou « lieven » et « leven » dans les composés. Très différemment, certains dictionnaires étymologiques avancent que ce terme aurait été forgé outre-manche, à partir du cornique « tolmen », qui aurait désigné à l'origine un cercle de pierres ou une pierre trouée.[réf. nécessaire] Fonction [modifier] Eléments structuraux du dolmen du Lamalou, Hérault, France Les dolmens étaient des sépultures collectives à caractère réutilisables. Cela explique que dans certains dolmens, on ait pu découvrir les restes humains de plusieurs centaines d'individus et du mobilier de périodes différentes (Néolithique, Âge du Cuivre, du Bronze, du Fer, ou même périodes plus tardives). Un peu à l'image de nos caveaux familiaux, les dolmens pouvaient servir bien plus longtemps qu'aujourd'hui et il est sûr que certaines tombes ont dû servir des siècles. Le terme de « sépulture collective » n'implique pas forcément qu'il s'agisse d'un tombeau pour tous : au vu de la quantité d'ossements parfois assez faible découverte dans des sépultures de grande taille — monuments prestigieux —, on se demande si certaines n'étaient pas réservées à un groupe de privilégiés de la communauté. Quant-au tumulus, il n'avait pas qu'une utilité protectrice de la chambre funéraire mais sans doute aussi une fonction de signalisation, voire d'ostentation : un grand tumulus, parementé, imposait sa masse au visiteur, devait inspirer le respect du lieu et conférer un prestige certain à la communauté qui l'avait érigé. Par ailleurs, plusieurs trouvailles archéologiques (offrandes, autel, allées, etc.) font penser que ces monuments funéraires ont pu avoir une fonction religieuse. Même bien après la grande période d'érection des mégalithes en Europe, les peuples celtes les ont sembe-t-il parfois utilisés à des fins religieuses mais n'en sont pas pour autant leurs constructeurs comme l'affirmèrent les premiers checheurs celtomanes des XVIIIe et XIXe siècles qui rattachaient systématiquement les mégalithes aux Gaulois et aux Bretons. On prétend notamment qu'ils ont été construits au croisement de lignes de forces telluriques et seraient porteur de pouvoirs magnétiques que détectaient les druides. Cependant, rien ne permet d'affirmer une telle hypothèse. Localisation [modifier] Carte schématique de l'implantation des Mégalithes en France.Les zones de couleur verte (Bretagne, Vendée, Limousin, Quercy, Causses, Languedoc, Ardèche) et orange (Corse) marquent les régions de forte implantation de dolmens, menhirs et cromlechs.Les autres zones sont pourvues en monuments mégalithiques mais de façon nettement moins importante. Carte schématique de l'implantation des Mégalithes en France. Les zones de couleur verte (Bretagne, Vendée, Limousin, Quercy, Causses, Languedoc, Ardèche) et orange (Corse) marquent les régions de forte implantation de dolmens, menhirs et cromlechs.Les autres zones sont pourvues en monuments mégalithiques mais de façon nettement moins importante. Cinquante mille dolmens ont été recensés dans le monde. Vingt mille d'entre eux se trouvent en Europe, où ils sont très nombreux dans certaines régions de France (environ 4500 dolmens disséminés dans une soixantaine de départements), surtout en Aveyron (1000 dolmens), Bretagne, Quercy avec 600 à 800 dolmens, Ardèche avec 800 dolmens dans ce seul département et le Languedoc avec au moins 600 dolmens. En France, on croit toujours que le plus grand nombre de dolmens se situe en Bretagne. Il n'en est rien car en fait le département de l'Aveyron, avec 1000 dolmens, en totalise à lui seul plus que toute la Bretagne réunie. On en retrouve une vingtaine dans le Var, dont 7 dans le village de Mons (Var). Pour schématiser l'implantation des dolmens en France, on peut partir de l'ouest du pays avec la Bretagne puis en descendant par le Poitou pour ensuite rejoindre plus au sud les causses du Quercy et de l'Aveyron et enfin arriver en bord de mer Méditerranée au Languedoc (voir carte). On en trouve aussi en Irlande, au Pays de Galles avec notamment les « portal dolmens », dans les comtés anglais du Devon et de Cornouailles, au Portugal avec les sites spectaculaires du Haut-Alentejo près de la ville d'Evora, dans le sud de l'Espagne avec les sites remarquables d'Antequera qui compte parmi les dolmens les plus imposants au monde, en Belgique (les Mégalithes du domaine de Wéris en Wallonie] ), en Allemagne du Nord, en Scandinavie, en Afrique du Nord, en Inde et plus modestement en Syrie, en Éthiopie et en Crimée (Russie). La Corée recèle à elle seule 30 000 dolmens, de différents types, élevés sur tout le Ier millénaire av. J.-C., et selon des techniques évolutives. On en trouve également au Japon mais de période beaucoup plus récente. Les dolmens sont absents des continents américain et australien. Voila alors vous vous êtes instruits ? Bon j'arrête là.